Urth Caffé

Délicieuses gaufres et viennoiseries, pancakes et muffins à tomber, formules breakfast avec des versions gluten free, excellents thés et cafés organiques également.

On vient ici pour le charme du lieu qui a conservé ses allures d’ancien bâtiment industriel, grands volumes et ancienne cour transformée en patio ombragé. Attablé au bar, on déguste un Rio Verde ou un Santa Fe Sunrise et on s’installe sur l’une des longues tables pour savourer une cuisine bio et locale qui décline les grands classiques US (excellents cheeseburgers) avec quelques échappées transalpines comme ces pizzas aux champignons sauvages. Le tout rafraîchi de vins californiens ou de rosés venus tout droit de France, notamment du Château Lacoste à Aix en Provence.

Hyper prisé des locaux, Gracias Madre est aussi le refuge des Mexicains installés en Californie qui retrouvent ici les vraies saveurs du pays, à ce détail près qu’elles sont uniquement végétales. Fajitas aux haricots noirs, riz et guacamole ; tofu grillé et riz à la noix de coco ou encore quesadillas au chorizo végétal… Le tout est servi avec de délicieux cocktails à base de mezcal.

Fondé par Robert De Niro lui-même, cette adresse mythique vaut tout d’abord par sa localisation, posée au-dessus des eaux du Pacifique ; par sa cuisine ensuite, imaginée par le chef Nobu Matsuhisa qui propose ici une expérience gastronomique inoubliable, mixant inspirations nippones et péruviennes. On ne manquera pas le ceviche de homard ou le peruvian style spicy chicken, l’iconique miso cod ou encore le monkfish liver pâté surmonté de quelques grains de caviar, tout en délaissant parfois la vue hypnotique pour observer le va-et-vient des habitués des lieux. Cette fille qui ressemble tant à Bella Hadid ? Sachez-le, c’est Bella Hadid.

On vient ici pour le charme du lieu qui a conservé ses allures d’ancien bâtiment industriel, grands volumes et ancienne cour transformée en patio ombragé. Attablé au bar, on déguste un Rio Verde ou un Santa Fe Sunrise et on s’installe sur l’une des longues tables pour savourer une cuisine bio et locale qui décline les grands classiques US (excellents cheeseburgers) avec quelques échappées transalpines comme ces pizzas aux champignons sauvages. Le tout rafraîchi de vins californiens ou de rosés venus tout droit de France, notamment du Château Lacoste à Aix en Provence.

Les films Psychose, les Dents de la Mer, Waterworld ou Fast and furious, les séries Desperate Housewives, The Simpsons ou The Walking Dead… Ces productions mythiques (et bien d’autres encore) ont toutes été tournées dans les studios d’Universal qui constituent une véritable Ode au Septième Art hollywoodien. Visite des plateaux de tournage et des coulisses de la réalisation des décors et trucages, découverte des attractions qui restituent, comme par magie, l’ambiance des œuvres les plus célèbres… Une visite à débuter très tôt le matin et en dehors des week-ends car vous ne serez pas seuls !

Inauguré en 1986 sur la Grand Avenue, ce musée signé de l’architecte japonais Arata Isozaki reste l’un des lieux les plus effervescents de LA, gardant l’œil toujours ouvert sur les tendances émergentes avec des expositions toujours attendues et des événements quasi quotidiens :  conférences, concerts, installations…. Le lieu abrite aussi quelque 6000 œuvres d’artistes américains et européens du XXème siècle, Miro, Max Ernst ou Pollock.  Il se déploie également dans deux annexes, The Geffen Contemporary at Moca and MOCA Pacific Design center.

Ici tout commence en 1975 lorsque deux copains de fac – Glenn Goldman et David Mackler- décident d’ouvrir une adresse pour célébrer le meilleur de la littérature américaine. Ultra-pointu, Book Soup devient vite le repaire des écrivains les plus courus -James Ellroy, Gore Vidal ou Tom Stoppard, qui viennent y dédicacer leurs nouveaux romans et rencontrer leurs fans. Près de 5 décennies plus tard, Book Soup n’a rien perdu de son esprit, même s’il s’est enrichi d’un vaste fond de littérature internationale et d’ouvrages d’art (photo, cinéma, musique, archi). Et chaque semaine, les fidèles se retrouvent pour des soirées qui réunissent, aujourd’hui comme hier, la Mecque de la littérature américaine, valeurs sûres et jeunes talents.

Fournisseur officiel du normcore à Los Angeles, le styliste James Perse a bâti un véritable empire de mode avec ses tee-shirts érigés au rang de véritable œuvre d’art : la coupe est idéale, le jersey de lotus de fabrication japonaise d’une parfaite douceur sur la peau, les couleurs sont neutres comme on les aime. Les filles choisiront le modèle “Vintage Boy” et les garçons le classique à col rond, impeccable. Fort de ce succès, James Perse a étoffé ses collections d’un vestiaire plus complet (extraordinaires chemises en jersey, …) et de remarquables collections de sneakers.

Amateurs d’art, fondus de design et fashionistas en ont fait leur QG et ce n’est pas un hasard, car ce quartier est aujourd’hui l’un des plus créatifs de LA. Côté mode, on retrouve les grands noms (The Row, Marc Jacobs) mais aussi des créateurs moins connus, essentiellement concentrés sur Melrose Avenue -Maxfield (8825), American Rebel (7474) à découvrir pour ses pièces vintages. Pour l’art et le design, on ne manquera pas RH pour Restoration Hardware (8564) avec ses trois niveaux emplis de mobilier et luminaires ou encore la galerie Louis Stern Fine Art qui célèbre l’abstraction géométrique américaine des années 50.

Fuyant les loyers prohibitifs du LA résidentiel, les premiers street artists se sont installés dans ce quartier industriel dès les années 70, créant en toute illégalité avant de décrocher, en 2007, l’autorisation de faire des lieux leur terrain de jeu. Entre Little Tokyo et Alabama Str, ce sont plus d’une centaine d’œuvres que l’on découvre -dont le fameux projet Angels Wings de Colette Miller, imaginé pour rappeler que nous sommes tous des anges de cette terre. A ne pas manquer, la galerie Hauser & Wirth, 10 000m2 aménagés dans une ancienne minoterie avec espaces d’expo, librairie et boutique ou encore Art Share LA, une ancienne usine textile reconvertie en espace artistique… Le tout avant de partir au hasard des rues pour saisir l’effervescence du quartier qui fourmille de boutiques de créateurs, de commerces bio et de bars trendy.

Ici, tout commence en 1919 quand Franck Toulet ouvre le Frank’s café sur Hollywood blvd, s’associant à Joseph Musso et engageant le chef français Jean Rue pour créer un menu qui reste inchangé. Centre de la vie culturelle avant-guerre, le lieu deviendra le refuge de Marylin Monroe ou Elisabeth Taylor dans les années 50 avant que le jeune Johnny Depp n’en fasse son QG, donnant le téléphone du lieu pour recevoir ses appels. Musso and Franck’s est aujourd’hui tenu par les trois petites filles de John Musso et abrite toujours le bar, les luminaires et le mobilier de 1934. On y déguste la même cuisine française – bouillabaisse le vendredi et confit de canard le dimanche. Seule concession à la modernité, depuis que Quentin Tarantino a immortalisé le lieu dans Once Upon A Time In Hollywood, les clients ne commandent plus seulement les mythiques Martinis mais aussi des Whisky Sours et Bloody Marys – boissons préférées de Di Caprio et Brad Pitt dans le film.

Délicieuses gaufres et viennoiseries, pancakes et muffins à tomber, formules breakfast avec des versions gluten free, excellents thés et cafés organiques également.

Le chef choisit pour vous et c’est un délice !